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Trojan Parasite, Archipelago

Un banc Modulaire, un parasite mobile et un prétexte au dialogue

En collaboration avec: Ala Tannir, , Meriem Chebani, Mara Usai, Arthur Modoianu

Dans le cadre du festival Archipelago, un parasite mobile a permis de créer, en pleine ville de Genève, un espace de discussion avec des architectes, des paysagistes et des conservateurs locaux et internationaux, autour de sujets liés à l’urbanisme.

Un parasite mobile

A l’invitation de Vera Sacchetti, nous avons d’abord mené un atelier à La Haute Ecole d’Art et de Design (HEAD). Qui a été suivi d’une installation performative pour la conférence Archipelago : Architectures for the Multiverse. Nous avons ensuite créé et utilisé des bancs modulaires que nous avons transportés sur notre dos à travers la ville pour créer un espace de rencontre parasite : le Trojan Parasite.   

Nous avons invité de talentueux architectes, paysagistes et conservateurs locaux et internationaux à venir discuter de questions liées à la ville de Genève : Ala Tannir, Meriem Chebani, Mara Usai et Arthur Modoianu,   

L’installation n’existait que temporairement sur chaque lieu, le temps d’une conversation, comme un point de rencontre parasite, invitant les passants à écouter et à participer.  

Cette installation visait à amener ces discussions, souvent réservées à une audience spécifique, au centre de la ville à la rencontre du grand public. Les interactions enregistrées et générées ont voyagé à travers les rues. Pour revenir finalement dans l’espace du festival, créant ainsi une nouvelle source de débat.

Le contexte

Archipelago : Architectures for the Multiverse était la première édition d’un festival issu de la rencontre entre les domaines de l’architecture, de l’architecture d’intérieur et de l’architecture du paysage. Ce festival est co-organisé à Genève par la Haute Ecole du Paysage, d’Ingénierie et d’Architecture (HEPIA) et La Haute Ecole d’Art et de Design (HEAD).